Les rééducations
La priorité pour nous est la qualité des soins.
L'orientation EBP de nos pratiques, est souvent active ; parfois associée à des techniques manuelle (massage, neurodynamique, levées de tensions, thérapie manuelle...).
Nous travaillons généralement en séances individuelles.
Le choix des techniques.
Pour vous apporter des soins de qualité, nous mettons en place des rééducations qui privilégient la plupart du temps une rééducation active.
Pourquoi ? Les données les plus récentes de la recherche montrent que ce sont ces techniques qui apportent les meilleurs résultats sur le long terme.
Les massages sont toujours régulièrement utilisés, et appréciés par les patients ; néanmoins, leur bénéfice se situe plus sur le court terme. Ils ont donc un intérêt principalement en début de traitement pour soulager des douleurs aigues.
De même pour de nombreuses techniques de thérapie manuelle, qui gardent un intérêt ponctuel, mais laissent la place dés que possible à un travail de fond, actif, qui favorise en outre l'investissement des patients dans leur traitement, ce qui améliore nettement les résultats, comme de nombreuses études ont pu le démontrer.
En revanche les adjuvants comme les ultrasons, l'électrothérapie, et autres ne vous seront pas proposés, n'ayant pu montrer un niveau de preuve d'efficacité suffisant, ou ayant une effet de très courte durée.
Une prise en charge globale et individuelle
Les prises en soin modernes vont donc s'appliquer à optimiser les capacités des patients, à prendre en compte non seulement leur lésion, mais aussi leurs attentes, leur compréhension de leur problème et du contexte dans lequel il intervient. En effet des facteurs négligés, comme les problèmes de sommeil, des difficultés personnelles ou professionnelles, etc, jouent une rôle qui est parfois essentiel pour comprendre et gérer une douleur ou un problème.
champs d'intervention
Les compétences des kinésithérapeutes embrassent les divers champs de la médecine.
Nous nous formons en outre régulièrement pour maintenir à jour nos connaissances et techniques, et pour en acquérir de nouvelles afin de prodiguer des soins les plus efficients possibles, à jour des connaissances actuelles, et les plus adaptés à chaque patient.
Quelques uns des domaines d'intervention en kinésithérapie :
(liste non exhaustive - les spécialités notées en noir ne sont pas proposées au cabinet)
L'orthopédie : scolioses, déviations de la colonne, prothèses et interventions variées, en pré et post opératoire.
La pneumologie : kinésithérapie respiratoire adulte et pédiatrique (asthme bronchiolites, mucoviscidose...)
La rhumatologie (lombalgies, rhumatismes inflammatoires, arthrose...)
La neurologie (avc, sep, parkinson...)
La traumatologie (entorses, fractures,...)
Le sport (accidents liés aux sports, prévention, préparation, récupération...) **
L'oncologie (DLM après curage ganglionnaire, confort et antalgie)
La phlébologie : DLM, massages circulatoires.
La péri natalité : lombalgie de grossesse, rééducation périnéale et abdominale post partum,
torticoli congénital, pied varus,...
Rééducation uro gynécologique (féminine uniquement) : rééducation périnéale. ***
Rééducation ORL (maxilo faciale, troubles de l'oreille interne,...)
L'esthétique et le confort : massages de bien-être, massages circulatoires, DLM, palper-rouler, pressothérapie, massages réflexes, massopuncture,...
Accès direct au kinésithérapeute
disposition légale.
article 123 de la loi 2016-24 du 26 janvier 2016, code de santé publique
" En cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, le masseur-kinésithérapeute est habilité à accomplir les premiers actes de soins nécessaires en masso-kinésithérapie. Un compte rendu des actes accomplis dans ces conditions est remis au médecin dès son intervention. "
Désormais dans une situation d’urgence* l'accès aux séances de Masso-Kinésithérapie peut se faire directement, sans prescription médicale.
Ces soins seront remboursés par la caisse et la complémentaire des patients à hauteur du tarif conventionnel.
Comme les séances hors convention de thérapie manuelle, elles seront facturées 40€, et ne pourront pas bénéficier du tiers payant : les soins devront être avancés au kinésithérapeute qui délivrera une feuille de soins pour justifier de l’avance des frais auprès des organismes (caisse et mutuelle)
*Cette notion d'urgence est mal définie légalement. Il faut y voir l'absence prescription médicale, de médecin disponible et les conséquences pour le patient si la prise en charge est différée. Ceci étant porté à l'évaluation du kinésithérapeute. Notons tout de même que la télémédecine, les numéros d’urgences, (18, 112, 39 66) permettent de nos jours d’avoir un accès rapide à un médecin qu’il soit régulateur au SAMU, médecin urgentiste de l’hôpital local ou le médecin généraliste du patient afin d’avoir un entretien bref et éventuellement un accord oral de soin par le patient.